Joseph Fumet
Le Courrier de l'Ouest (1981) - Première exposition.
Biographie
Brigitte Morillon, est née en France le 7 février 1959 à Renazé dans le département de la Mayenne. Cette artiste auteur, luso-descendante de par sa mère, est peintre et plasticienne.
Elle vit et travaille entre Lyon et Lisbonne.
Elle est également chef d’entreprises depuis 1981.
Formations
École Supérieure des Beaux-Arts d’Angers :
• Département Art
• Département Communication Visuelle et Audiovisuelle
CNRS de LYON - Techniques de moulages et résines plastiques
RMN - Musée du Louvre (Réunion des Musées Nationaux) à PARIS - Patines
Congruences Lyon - Formation PNL, praticien et maitre-praticien
L’enfance
Brigitte est née Alliot en Mayenne Angevine. Elle est l’ainée de quatre filles d’un foyer.
Son père, Moïse Alliot, est mineur de fond puis coiffeur-hommes à la suite du décès accidentel de son frère Georges. Ensuite il sera commerçant avec sa mère, Andrée Da Costa Branquinho, dans leur magasin d’articles de sports. Malgré une éducation stricte et exigeante, Brigitte est proche de son père qui lui a transmis le goût du sport, de la compétition ainsi que celui du bricolage. Une complicité qui restera jusqu’en 2010, année de son décès. Ce qui fera de la future artiste une personne mature et engagée au leadership incontesté dès sa scolarité.
Elle est proche de sa grand-mère qui compte beaucoup dans son éducation. La petite fille est ainsi marquée par la guerre et la résistance. Marie, cette grand-mère paternelle, lui conte les guerres et l’évolution du monde industriel de cette Europe en construction. Elle attise son envie de savoirs et sa curiosité pour toute ce qui est modernité et progrès.
Modiste, la voisine du salon de coiffure de ses parents, lui apprend à faire des chapeaux, de la broderie. Elle passe son temps dans sa boutique après avoir fait rapidement ses leçons. Elle découvre la passementerie, la couture, la broderie et développe son esprit créatif aussi avec la dentelle : elle crée déjà des modèles, des volumes… Elle n’a pas dix ans.
C’est sa tante, Rose Alliot, à Pouancé, qui lui a donné le goût de l’art, des belles choses, de la littérature. Rose reconnait très vite en sa nièce des attraits pour l’art et l’encourage à se lancer dans les études supérieures artistiques pour vivre de sa passion. Brigitte aura une écoute attentive et complice avec cette tante qui sera toujours proche d’elle.
Le voisin du salon de coiffure de Rose, surnommé « Fiston », libraire et papetier dans le village, lui fait découvrir des livres et des revues d’art qu’il commande pour lui et, dans lesquels Brigitte se plonge pendant des heures. Les pinceaux en poils de martre qu’il lui offrit sont encore dans son atelier aujourd’hui. La lecture et le dessin, sont en dehors du sport les activités qui remplissent ses journées.
Petite, elle sait déjà quelle veut devenir peintre. En effet, en CP, sa maitresse, Marie-Angèle, lui demande ce qu’elle veut faire plus tard, et elle répond qu’elle « je veux devenir peintre comme Dali, Picasso et Vlaminck ».
Depuis ce jour pas une minute dans sa vie elle ne songe à faire autre chose que ce métier.
L'adolescence et les études
Après ses années lycée dans le segréen et un engagement associatif dense. Brigitte Alliot entre à l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Angers en octobre 1976, puis dans le Département Art et dans le Département Communication Visuelle et Audiovisuelle, où durant 5 ans, elle y parfait ses connaissances et ses expériences artistiques. Elle commence alors une vie indépendante multi-active et avide de connaissances.
De ses études à l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Angers, et de cette période estudiantine, elle retient ses rencontres avec des artistes qui lui apportent un mode de réflexion particulière qui la suivra tout au long de sa carrière artistique. Aussi, avec Edward Baran, professeur et plasticien dans son école, elle complète sa curiosité sur le subtil travail du fil et du papier. Elle est entourée par des amis liciers. Le textile, les matières naturelles, les teintures et les matériaux modernes comme les plastiques retiennent sa sensibilité et ses intentions, elle veut les faire jouer dans sa peinture. Le mélange des médiums, la cuisine de la peinture la passionne déjà. Josep Grau Garriga, qu’elle rencontre à plusieurs reprises dans sa vie, la conforte dans ces recherches.
L’appareil photo toujours en main elle est impressionnée par l’explosion de l’image de pub dans les années 70-80.
Sa rencontre avec Jacques Monory, l'un des principaux représentants du mouvement de la figuration narrative, sera décisive. L’image photographique et le dessin dans son expression graphique et sensible seront toujours antagonistes dans son art.
La problématique du dessin et de la construction aura toujours un poids dans ses décisions et ses orientations. Le sens, l’intention allant de pair avec la construction et la représentation plastique de l’œuvre. Avoir quelque chose à dire au spectateur, entrer en dialogue avec celle ou celui qui rencontrera son œuvre.
Parallèlement à ses études, elle se forme au théâtre avec Paul-André Sagel, professeur d’art dramatique. Elle suit ses cours de mime, de clown et d’improvisation. Elle travaille aussi sur le masque, un thème qu’elle veut expérimenter, un jour, dans son travail pictural.
En effet Brigitte a toujours été imprégnée par le théâtre depuis son enfance dans le Segréen, où elle fait partie d’une troupe de théâtre amateur, « Les Baladins de la Verzée » et ses rencontres avec Jean Claude Brialy, Alice Sapritch et Hervé Bazin qui ont leurs habitudes près de chez elle … Relations qui perdureront et qui lui permettront, plus tard dès sa sortie des Beaux-Arts, de démarrer ses premières expositions régulières dans le cadre du Festival d’Anjou.
Son monde c’est celui du spectacle, de la comédie et des arts plastiques, elle y trouve ses petits boulots d’étudiante et à y parfaire ses connaissances techniques utiles à ses projets artistiques.
Elle a fait des reportages photo avec la Ville d’Angers et les milieux associatifs, puis travaille comme projectionniste dans les cinémas d’Angers. Elle gérera une salle d’art et d’essai lors de sa dernière année d’études en Département communication visuelle et audiovisuelle.
Elle se marie en 1981 et aura trois filles. Les bords de la Loire seront ses espaces de vie et d’inspirations : la Pointe de Bouchemaine, l’île de Béhuard et le château de Varennes à Savennières, demeure familiale où elle a un de ses ateliers et y développera ses activités.
Périodes Angevine et Nantaise.
C’est une période dense de créativité artistique en marge de son travail de graphiste et de directeur artistique dans les agences de publicité et d’architecture angevines et parisiennes.
Très entrepreneuse, elle crée des Ateliers d’arts plastiques à Angers et Avrillé, pour le compte d’associations. Elle crée aussi ses propres ateliers privés à Grez-Neuville, Angers, Savennières où elle enseigne pour les amateurs, puis, pour des étudiants qui préparent des concours d’entrée des grandes écoles parisiennes.
Très tôt, Brigitte Morillon est attachée à l’authenticité et au patrimoine. Pouancé, la ville de son enfance, est une forteresse riche d’histoire. Les paysages miniers du segréen bercent sa jeunesse. Aussi les images de son environnement sont des sujets inlassables d’inspirations qui vont asseoir très tôt sa notoriété.
De ses ateliers de Grez-Neuville, d’Angers - de celui de la rue Lenepveu à la celui de la rue Plantagenêt – ou de celui du Château de Varennes, à Savennières, elle donne le tempo à travers cours, stages, expositions et événements qui l’emmèneront régulièrement jusqu’au Croisic, La Baule …
À cet Océan qui lui est si cher depuis l’enfance en compagnie de Rose.
Brigitte Morillon a déjà sa propre écriture dans de nombreuses techniques et excelle dans l’aquarelle, le lavis, les charbons et les pastels ; l’huile et surtout l’acrylique qu’elle imposera. La construction, la perspective et la couleur sont ses enseignements favoris.
Lors d’une exposition PACA à Angers, elle rencontre Maria Helena Vieira da Silva, qui découvrant ses origines portugaises et son carnet de dessins et de recherches, la conseille et l’encourage à faire carrière artistique.
La Loire va vite devenir son sujet favori car il lui permet d’accéder à la liberté du trait et des espaces de couleurs.
On retiendra la pluralité de son enseignement et « Le Bleu Morillon » qui sera sa marque de fabrique et de succès. Après les journées de voile à Pornichet ou aux Sables d’Olonne, elle croque sur ses carnets les ports et les plages de l’Atlantique et de Vendée. Sa soif de liberté lui fera prendre un nouveau chemin.
Elle divorce et elle part à Nantes avec ses filles. De son atelier nantais elle continue le pastel et l’acrylique en choisissant l’estuaire, les docks… de nouveaux paysages, de nouvelles inspirations.
Entre figuration et abstraction elle décrit l’estuaire de la Loire aux couleurs subtiles et aux ombres changeantes que Turner a si bien magnifié auparavant.
Le pastel sec avec ses « bleus » intenses, puissants au dessein net fera de sa création une valeur et l’occasion d’œuvres primées.
Son style s’affirme entre les antagonismes de la construction et du lyrisme.
Elle est membre depuis quelques années de la PACA, Présence de l’Art Contemporain en Anjou, dont Jean Pierre Arnaud est président. Toujours aussi active, son engagement associatif lui offre de belles amitiés avec des peintres comme Michel Jouet, Michel Blais, Josep Grau Garriga… Elle participe à l’organisation de grandes expositions consacrées à Maria Helena Vieira da Silva, Arpad Szenes, Peter Klasen, John Franklin Koenig, James Guittet, Michel Blais, Michel Jouët, Jean Arp, Michel Debré, Paul Jenkins, Joe Downing, Bertrand Dorny, Vera Molnar, etc.
Ces rencontres lui créent une période riche en motivation et questionnement sur son art et sa carrière artistique.
Période Lyonnaise
En 1995 elle part à Vienne dans l’Isère, avec ses filles, pour prendre la direction d’une entreprise d’insertion dans les moulages pour les Musées.Elle complète ses expertises parune formation aux moulages au CNRS et une période de validation de ses compétences en patines dans les ateliers du Musée du Louvre à Paris pour la RMN (Réunion des Musées Nationaux) pour pouvoir effectuer des patines pour les Musées Nationaux. Elle réalisera des pièces avec les Musées Gallo-Romain de Vienne et de Lyon.
Pris dans l’ambiance du Festival de Jazz à Vienne elle peint le jazz avec la fulgurance de ses couleurs et de ses pastels.
En 1998, elle s’installe sur Lyon où elle reprend ses ateliers et ses évènements, crée une École Supérieure d’Arts Appliqués et une Galerie sur les Pentes de La Croix-Rousse.
Elle prend la délégation lyonnaise de PACA et organise les expositions de quelques - uns de ses amis peintres dans sa propre galerie : Michel Jouët, Michel Blais, Bertrand Dorny…
En parallèle de ses activités très denses, sa création artistique continue avec l'objectif de la cotation de son travail.
2006, Paris à Drouot, adjudication de l’œuvre “Port à marée basse ”, technique mixte sur toile de 80 x 80 cm : Lot 241 - Estimé: 2 300 / 2 400 € par Me Dominique Stal- Expert en Art Contemporain.
2006, Mulhouse à l’Hôtel des ventes Me Vorobief, adjudication de l’œuvre “Port à marée basse ”, technique mixte sur toile de 80 x 80 cm, estimation 2 300 / 2 400 €.
En 2007 Brigitte Morillon décide de se consacrer complètement à son Art.
En 2007 elle laisse ses activités et décide de reprendre sa propre carrière. Ainsi commence un virage autour de sa propre production artistique et des évènements s’y rapportant.
2007, Paris à Drouot, adjudication de l’œuvre “Port à marée basse ”, technique mixte sur toile de 80 x 80 cm : Lot 195 - Estimé: 2 000 / 2 200 € par Me Claude Aguttes Auctions.
Le 19 avril 2012, Paris à Drouot, Salle V, 3 rue Rossini, l’œuvre « Au bord de la Piscine », une acrylique sur toile de 92x73cm, est proposée à la vente aux enchères sur l’estimation du prix de réserve de 2800/3000€ par Maître Bertrand Fraisse, commissaire-priseur à Tours.
Les tarifs pratiqués par Brigitte Morillon pour la ventes de ses peintures sont ainsi confirmés.
Période Portugal
Anselme KIEFER disait :
" Je n'ai pas vraiment arrêté de travailler. Au lieu de peindre, j'ai photographié et j'ai écrit. Cela semble extérieurement avoir été une grande coupure, mais voyager n'est en réalité que la suite du travail avec d'autres moyens. Je crois qu'il est bon de quitter la routine. Il est devenu de plus en plus facile pour moi de produire quelque chose. Mais un artiste doit justement se garder de cette facilité".
C’est une période pour se retrouver, se détacher des années d’enseignements, retrouver le sens.
Tout en conservant son atelier lyonnais, en convalescence, elle part se ressourcer au Portugal. Une mauvaise chute, entrainant une lésion à la jambe, la pénalise depuis quelques années.
2007, le virage qui est un déclic pour reprendre ses vraies inspirations. Elle retrouve « Le Livre de L’intranquillité » de Fernando Pessoa en consultant ses vieux carnets de notes et de croquis de ses années d’étudiante… Les années 1979-82 où le Portugal découvrait l’œuvre de ce grand poète.
En 2009, Brigitte Morillon décide de partager ses ateliers entre le Portugal et Lyon et d’y trouver un équilibre créatif.
En même temps c’est une rencontre avec ses origines portugaises qui ont toujours écho en elle.
L’Atelier de Praia de Mira se situe dans les dunes de Mira, petite bourgade du centre du Portugal, au bord de l’Océan Atlantique. C’est un coup de foudre pour cette longue plage sauvage de sables clairs baignée par la lumière.
De cet isolement il en ressortira un nouveau plaisir de peindre et de retrouver ses propres marques. Peindre la mer et ses effets changeants lui apporte apaisement et nouvelles orientations créatrices.
L’Atelier de Lisbonne – Arte House – en 2013, l’emmène sur les hauteurs des Miradouros de Graça. Ce changement l’oriente sur de nouvelles envies et projets plus en phase avec ses valeurs et ses engagements de peintre. Elle reprend le thème qui lui est cher : travailler autour des écrits de Fernando Pessoa. Sujet laissé en suspens depuis quelques années et dont l’inspiration initiale vient de ses années d’étudiante : mettre la forme pour montrer les formes pour traiter tous les sujets …
Jusqu’à aujourd’hui, elle alterne entre Lyon et Lisbonne ses activités de peintre et d’animations pour les entreprises autour de ses créations.
Créer, avec passion, et faire connaître et reconnaître son art.
Maintenant elle souhaite que ses créations l'emportent sur de nouveaux chemins vers l'international.
Activités connexes
Brigitte Alliot Morillon a toujours exercé des activités en lien avec le monde de la création dans ses entreprises en marge de sa propre production. Aussi ses débuts se font en agences de communication et d’édition en Anjou puis à Paris, en tant que graphiste et illustratrice puis, directeur artistique. Activités qu’elle pratique toujours parallèlement à son activité d’évènements pour le monde des entreprises.
Dès ses années étudiantes elle produit et organise des expositions et des salons d’art, contribue à la création et la production d’ouvrages et d’éditions de monographies, notamment avec PACA.
De 1981 à 2005 elle est enseignante puis fondateur et directeur dans des Écoles d’Arts Appliqués.
Très active dans l’insertion professionnelle et les milieux associatifs, elle s’engage particulièrement à la professionnalisation des artistes par l’économique. Elle est très attachée à faire valoir le métier de l’artiste auteur.
En 2014, elle crée sa propre marque Arte Take Away®. Elle crée, produit, édite et distribue des produits « Art and Design gifts » dans les Musées, boutiques de tourisme et de décoration.
Brigitte Alliot Morillon a toujours eu plaisir à organiser et animer des évènements tout au long de sa carrière professionnelle. C’est pour cela, que depuis 2007, elle s’implique pleinement dans L’Art in Business© où elle conjugue son art et ses activités d’évènements.
Monde de l'Enseignement
Pendant 20 ans, Brigitte Alliot Morillon, a été directrice d’Écoles d’Arts Appliqués. Ses spécialités dispensées en tant de professeur, ou jury d’examens du BTS, sont : la théorie de la couleur, la géométrie-perspective et la construction, la démarche créative dans la communication, l’art et l’architecture d’intérieur ainsi que les techniques d’illustration, notamment sur ordinateur.
Brigitte Alliot Morillon débute sa carrière professionnelle en donnant des cours et des animations dans les associations angevines comme celle du Lac de Maine ou la MJC d’Avrillé. Elle contribue à organiser différents salons de peinture ce qu’elle continue à faire durant une bonne partie de sa vie.
Dès 1981, elle ouvre ses premiers ateliers rue Lenepveu à Angers, puis rue Plantagenêt. Elle n’aura de cesse de consacrer une grande partie de ses activités à l’enseignement. Après un passage par l’Éducation nationale, en tant que professeur d’arts plastiques et d’architecture d’intérieur, à L’école d’Économie Sociale Familiale d’Angers, elle décide d’ouvrir, en 1989, son premier établissement supérieur artistique et centre de Formation Professionnelle : l’ESDAM dans la même ville. Elle y prépare des jeunes aux concours des grandes écoles d’Arts Parisiennes et ouvre un atelier de spécialisation aux métiers de la communication publicitaire et de PAO, ce qui est avant-gardiste pour l’époque.
Puis en 1993, à Nantes, elle offre ses services d’experts, en direction et formation, à des architectes pour l’ouverture d’un centre ainsi qu’à l’IFCD (institut de Formation des cadres de la distribution), école de commerce en tant que Directeur marketing et communication.
Puis plus tard, à Lyon, elle ouvre l’École Supérieur d’Arts Appliqués Morillon.
Ces établissements ont été reconnu par l’Éducation Nationale et le Ministère de la Culture.
L’objectif de Brigitte Alliot Morillon est de faire évoluer le contenu pédagogique pour que la formation des étudiants soit adaptée au monde de l’entreprise ainsi que développer leur potentiel créatif.
Ce que dit Brigitte Morillon à propos de l’enseignement :
« Depuis 1981, date de mes débuts dans l'enseignement des Arts Appliqués et de mes expériences dans les métiers de la communication et de la décoration, je me pose la question : Comment inculquer la maîtrise du dessin, essence même du dessein de l'esprit créatif, face à l'accélération des nouveaux moyens d'expression nés du monde numérique ?
Comment inculquer à nos jeunes, nés de ce monde, qu'il faut demander à ce temps de suspendre son vol, de regarder en arrière et de sentir tout le chemin parcouru à travers l'évolution des techniques graphiques ? »
« Ingres écrivait : « Le dessin est l'honnêteté du peintre », voyage initiatique d'ascèse dans un espace virtuel, tel est le parcours du jeune futur créateur aujourd'hui. Consciente de ces exigences à enseigner, j'ai choisi de m'entourer d'une équipe de professionnels riches d'expériences et tous convaincus, comme moi, que cette mission passe par la relation humaine entre les générations dans la transmission des savoirs. » (BAM)
BRIGITTE MORILLON
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